10ème Journée mondiale de la prévention du suicide

A l’occasion de la 10ème Journée mondiale de la prévention du suicide, le Groupe prévention suicide Vaud issu de la politique en santé mentale du Canton de Vaud, vous convie à la conférence publique de la Professeure Monique Séguin, de l’Université du Québec, du groupe McGill d’étude sur le suicide de l’Hôpital Douglas de Montréal. Cette conférence a pour titre : «Comment prévenir les comportements suicidaires?» Elle aura lieu le lundi 10 septembre 2012, de 17h30 à 19h, à l’auditoire César Roux du CHUV. Cette conférence sera suivie d’un apéritif offert et visite des stands de prévention.Voir l’affiche

Le suicide et les conduites suicidaires sont une problématique complexe. Pour les professionnels confrontés à de telles situations, de nombreuses questions surviennent. Afin de pouvoir mieux identifier, évaluer et prendre en charge des personnes à risque de suicide, nous vous rappelons qu’une formation vous est proposée sur le thème «Faire face au risque suicidaire». D’une durée de 2 jours, la formation est régulièrement donnée tout au long de l’année. Vous avez la possibilité de vous renseigner sur les dates des différentes sessions ainsi que sur les modalités d’inscriptions directement sur le site de la Formation continue UNIL-EPFL.
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Des secousses magnétiques pour stimuler le cerveau après une attaque

Après des attaques cérébrales, les patients se comportent souvent bizarrement: ils finissent seulement le côté droit de leur assiette, se heurtent à des objets situés dans la moitié gauche d’une pièce ou ne réalisent plus que leur jambe gauche leur appartient. Ces troubles appelés «Spatial Neglect» sont un grand handicap dans leur quotidien.
Ils sont dus à une suractivité de la moitié de leur cerveau qui n’a pas été touchée par l’attaque. Des chercheurs de l’Hôpital de l’Ile à Berne et de l’Hôpital cantonal de Lucerne ont tenté de ralentir cette activité via une stimulation magnétique non invasive à travers le crâne.
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Philippe Croizon a gagné son incroyable défi

A  sa manière, Philippe Croizon a bouclé un tour du monde à la nage.
L’ aventure intercontinentale « Nager au-delà des frontières » a commencée il y a 4 mois .
Philippe Croizon quadruple amputé des membres et son ange protecteur Arnaud Chassery avaient entrepris d’effectuer une jonction symbolique des cinq continents à la nage (Océanie, Asie, Afrique, Europe, Amérique) via des détroits et passages. Le dernier chapitre de leur incroyable défi  a pris fin vendredi 18 août 2012 lorsque les deux hommes ont relié l’Amérique et l’Asie entre l’île de la Petite Diomède et la limite des eaux territoriales russes dans le Détroit de Béring. Avec son  extraordinaire voyage Philippe Croizon a offert un magnifique signal d’espoir au monde du handicap.
Voir leur parcours   « Nager au-delà des frontières »

L’inclusion scolaire un plus pour tous

Pour la rentrée scolaire 2012-2013, 285 élèves avec handicap ont intégré une classe «normale» en Valais. Chaque enfant a fait l’objet d’une analyse par l’Office de l’enseignement spécialisé, les autorités scolaires locales, les enseignants et les parents. «Nous tenons compte du développement de l’enfant, de ses capacités et de l’établissement qui l’accueille, puis nous faisons une proposition aux parents qui décident de ce qui est le mieux pour l’enfant», note Michel Délitroz, chef du Service de l’enseignement spécialisé. L’inclusion scolaire comporte plusieurs aspects bénéfiques. «Ces enfants dont la différence est reconnue apportent beaucoup aux élèves. En ayant une personne plus fragile dans le groupe, le climat devient meilleur.» Des recherches prouvent aussi que les autres élèves ne sont pas prétérités au niveau scolaire. Au contraire. «J’ai vu des enseignants réticents en début d’année qui reconnaissaient ensuite l’enrichissement apporté par la présence de l’enfant avec handicap.» Quant à l’écolier handicapé, il bénéficie de la stimulation de ses camarades et évolue plus vite qu’en classe spécialisée. Pas d’angélisme cependant pour Michel Délitroz. «Parfois, l’enfant handicapé sera mieux dans une classe spécialisée. Nous ne voulons pas tomber dans l’inclusion à tout prix.
Source : Le nouvelliste.ch