Une Cuvée Rare pour les maladies rares

Les Vins de Sion ont élevé une Cuvée Rare (assemblage rouge) destinée à financer le projet-pilote Former – Accompagner – Coordonner mené actuellement dans le canton par ProRaris – Projet FAC Valais pour soutenir les personnes atteintes de maladie rare. L’Office fédéral de la santé publique compte s’en inspirer pour mettre en place les coordinateurs cantonaux prévus dans le concept national maladies rares.

Les Vins de Sion, partenaires de cette action, s’engagent à verser une partie du produit de la vente de cette Cuvée Rare au profit de ce projet unique.

Présentation du projet

Si vous désirez soutenir cette action ou si vous cherchez une idée de cadeau originale en soutenant un projet hors-norme réservez dès à présent votre « Cuvée Rare »

La vente par souscription se termine fin septembre

Bulletin de commande

Les droits des personnes handicapées… et en Valais ? / Die Rechte von Menschen mit Behinderungen…und im Wallis ?

Forum Emera : Jeudi 24 novembre 2016 / Sierre – Techno-Pôle
Les droits des personnes handicapées… et en Valais ?
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Forum Emera : Donnerstag, 24. November 2016 / Siders – Techno-Pôle
Die Rechte von Menschen mit Behinderungen…und im Wallis
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Le centre pour patients cérébro-lésés a 5 ans

Le centre pour personnes cérébro-lésées de la Fondation Valais de Cœur à Sion souffle ses cinq bougies vendredi et samedi, 23 et 24 septembre 2016 . Après un séminaire sur les lésions cérébrales organisé vendredi, une manifestation publique aura lieu samedi.

La fête débutera dès 11 heures devant l’établissement, av.Grand-Champsec 32, par des animations.

Le centre, prévu pour répondre aux besoins dans les six à huit ans suivant son ouverture, affichait déjà complet dès 2013.

Il peut accueillir 26 personnes atteintes de troubles cérébraux. Il y a une liste d’attente.

Si le centre Valais de Cœur permet aux personnes de renouer dans un premier temps avec la vie il est également un lieu de travail permettant aux patients de retrouver une activité professionnelle et parfois même l’amour…

Lire les témoignages de Fabio Berruccio et Alain Quelvennec dans le Nouvelliste

Exposition de moyens auxiliaires réa pédiatriques

L’équipe réa d’Ortho.Kern SA a le plaisir de vous inviter à l’exposition de moyens auxiliaires réa pédiatriques qui aura lieu le mercredi 30 novembre 2016 dès 15h00 dans ses locaux de Sion, rue de Pré-Fleuri 2c

Venez découvrir les nouveautés et les grands classiques, comparer les produits, les essayer et tester leur ergonomie et leurs possibilités d’adaptation.

Une occasion unique d’échanges d’expériences, de conseils, et d’informations avec les
représentants des marques, les professionnels de la santé et des techniciens orthopédistes spécialistes réa.

L’exposition est ouverte à tous,  pour des raisons d’organisation merci de confirmer votre présence à sion@ortho-kern.ch

Berne continuera de dire «invalide»

Les rentiers AI devraient continuer d’être désignés comme invalides. Le Conseil fédéral ne souhaite pas utiliser un autre mot comme le propose la conseillère nationale Marianne Streiff. L’évangélique bernoise, comme 32 autres élus de presque tous les partis, juge le terme péjoratif et discriminatoire.

Invalide vient du latin «valere» (bien portant, sain, avoir de la valeur, du mérite, un prix) et du préfixe négatif «in» qui marque l’impossibilité. «Invalidus» est donc fortement péjoratif puisqu’il signifie faible, débile, impuissant, sans force, s’insurge dans une motion Marianne Streiff.

Et de comparer indirectement le terme à d’autres qualificatifs dépassés comme mongolien, anormal, débile, demeuré ou attardé. Dans sa réponse publiée lundi, le Conseil fédéral dit comprendre les préoccupations de la députée, mais il juge superflu de changer de mot.

D’abord, il faudrait trouver un terme non connoté négativement, traduisible dans les trois langues et compatible avec les normes internationales. Les recherches sont restées vaines à ce jour.

Parler de personne handicapée au lieu d’invalide prêterait à confusion puisque qu’un handicapé n’est pas forcément limité dans sa capacité de gain. Enfin si l’on changeait de mot, il faudrait modifier la constitution fédérale et de nombreuses lois ainsi qu’adapter et renégocier diverses conventions internationales.

Source: ats