Atteinte d’une maladie rare, elle crée un groupe de parole suisse pour les personnes concernées

Susana Rodrigues  est la maman de quatre enfants âgés de 15 à 5 ans.

Elle a  31 ans, lorsqu’elle découvre à la suite d’un accident de voiture qu’elle est atteinte d’une maladie rare appelée la maladie de Charcot-Marie- Tooth.

Faire connaître la maladie de Charcot-Marie-Toot (en PDF)

Cette maladie est génétique et le mal  peut se transmettre aux enfants Alors que les trois aînés de la fratrie ne sont pas touchés un test démontre que la benjamine est atteinte du même mal que sa maman.

Même si elle culpabilise chaque jour  d’avoir transmis  sans le savoir la maladie à son enfant,  Susana  a décidé de lutter pour reprendre sa vie en main et a crée un groupe de parole suisse pour les personnes concernées.

Dans sa lutte permanente cette courageuse maman ne veut rien lâcher.
Ni l’espoir ni son combat. C’est sa raison de vivre

Lire le témoignage de Susana dans le Nouvelliste (en PDF)

Renseignements sur le groupe de paroles.

 

Pour que les aveugles y voient clair

Le système de repérage pour malvoyants installé à Monthey est accusé de les guider droit dans les arbres!

Ces lignes ont beaucoup fait parler d’elles, notamment sur le site internet de l’Entente.

Lire l’article de l’Entente en PDF

Même le bonhomme Hiver les a citées lors de son «Jugement» à carnaval: «A Monthey, on se sert des aveugles pour recenser les arbres!»

Denis Maret,Vice-Président de la  section valaisanne de la Fédération Suisse des Aveugles (FSA) explique «Il y a une confusion à éclaircir sur ce à quoi elles servent. Il ne s’agit pas de lignes de guidage, mais de bandes de séparation.»

«Plusieurs éléments de type podotactile existent pour aider les malvoyants à se déplacer. A Sion, la municipalité a installé des lignes de guidage. En les suivant grâce à une canne, on peut se déplacer d’un point A à un point B. La solution pour laquelle a opté Monthey
est différente.»
De fait, les trois traces parallèles servent à délimiter les zones

Lire l’article du Nouvelliste en PDF

Il ouvre un sex-shop pour sortir de l’AI (BE)

Michel Abegg est malvoyant et perçoit des rentes AI. Afin de ne plus dépendre de l’Etat, le jeune homme de 24 ans a ouvert son propre sex-shop à Berne.

Il a décidé de travailler en tant qu’indépendant parce qu’il n’a aucune chance de trouver un emploi sur le marché du travail en raison de ses graves problèmes oculaires.

Le député au Grand conseil bernois, Thomas Fuchs (UDC), salue l’engagement du jeune Bernois: «Je soutiens son courage et sa volonté d’être indépendant. Mais c’est important qu’il continue, pour le moment, à percevoir sa rente AI.»

Lire l’article du 20 minutes

La Journée mondiale de la lecture à voix haute

Le 4 mars à lieu la journée mondiale de la lecture à haute voix.

Créée en 1976 à l’usage des handicapés, la Bibliothèque sonore romande, à Lausanne, se félicite de disposer d’un catalogue de livre audio, à la hausse, de 17’000 titres.

Conçu pour les non-voyants ou le secteur du livre jeunesse, le livre audio cible désormais l’usager voyageur. Une étude récente le voit ainsi plutôt de sexe féminin, pendulaire «auto, métro, boulot et curieusement, déjà gros lecteur de livres classiques.

Cette banalisation du livre audio coïncide avec la popularisation des lectures.

Lire l’article du 24heures.ch

Visiter le site de l’Etoile Sonore

Travailleur social pour rétablir des terrains de médiation entre l’individuel et le collectif

Deux professionnelles du social ont pris le temps de réfléchir en portant un regard sur leurs formations et leurs pratiques d’assistantes sociales, un métier qu’elles ont exercé pendant plus de vingt ans dans des contextes différents et avec des fonctions différentes, mais dans lequel leurs compagnons de route étaient toujours des personnes en souffrance psychique et leurs proches.

Elles présentent ici un positionnement et quelques idées quant à la fonction du travail social dans le champ de la santé mentale et illustrent ces points de vue à partir de l’exemple de la Coraasp, (Coordination romande des associations d’action en santé psychique) un modèle parmi d’autres et qui a soutenu l’élaboration de leurs réflexions.

Pourquoi et à quoi se forme-t-on dans le travail social ? Quelles réalités rencontre-t-on sur le terrain, comment et avec qui y fait-on face ? La complexité et l’incertitude peuvent-elles être perçues comme des opportunités de changement et, si oui, comment les différentes parties prenantes peuvent-elles capitaliser leurs ressources et leurs valeurs avec des projets communs ?

Lire le dossier du mois (en PDF)  de l’ARTIAS Association romande et tessinoise des institutions d’action sociale