Il fait le lien entre sport et handicap

Thomas Tröger est le directeur de l’Association Suisse des Paraplégiques. Il est également vice-président du comité d’organisation du championnat suisse de saut d’obstacles et poursuit ses activités professionnelles à Nottwil

Il vit intensément le sport et particulièrement le sport handicap. Comme président de Swiss Paralympic, il a mené la délégation suisse lors de plusieurs Jeux paralympiques, comme à Pékin. Des joutes qui lui servent à faire avancer la cause des handicapés, par exemple en accueillant sur place des conseillers fédéraux.

Lors d’un petit déjeuner au stand du  Club en Fauteuil Roulant du Valais Romand (CFRVR) pendant le jumping de Sion, il nous livre ses impressions

Lire l’interview du Nouvelliste (en PDF)

Une maman lutte pour donner à son fils hémophile une belle vie

Pour toutes les mamans du monde prendre soin de ses enfants et une évidence, mais pour Stéphanie Trisconi c’est une question de vie ou de mort.

Onze mois après la naissance de son fils, alors que la famille était en vacances  Stéphanie découvre subitement que son enfant souffre d’hémophilie sévère. Ce qui signifie que tout ce qu’il fait dans le quotidien peut le mettre en danger.

Plus tard un autre diagnostic révèlera une maladie orpheline qui peut emporter l’enfant à tout moment.

Dans un livre poignant, Stéphanie raconte qu’elle est devenue maman-infirmière et qu’elle  a accepté de vivre un jour après l’autre sachant qu’une épée de Damoclès se balance au dessus d’elle et que demain tout peut basculer…

Lire l’article du Nouvelliste (en PDF)

Visiter le site Les maux globines

Référence du livre «Les maux globines», publié aux Editions Attinger
Vernissage le 19 octobre à Vida Loca, à Bex.

Visiter le site de ProRaris : Alliance Maladie Rares – Suisse

La cobotique

Les exosquelettes sont déjà actifs dans les hôpitaux et centres de rééducation pour assister les personnes handicapées dans leurs mouvements.

Lire notre article du 3 septembre 2014

Et voici qu’aujourd’hui ces engins  robotique débarquent sur les chantiers!

L’homme et la machine ne faisant qu’un ce n’est désormais plus de la science-fiction mais de la «cobotique» (robotique collaborative).

Lire l’article de la Tribune de Genève

La technologie des exosquelettes est en pleine éclosion et devrait bientôt s’étendre partout où il y a des tâches physiques nécessitant puissance et endurance et où on ne peut pas se passer de l’homme pour les manipulations.

Quand la cobotique fera partie intégrante de notre mode de vie comblera t-elle  le fossé qui sépare la personne handicapée de l’homme valide ?

Centre cantonal de l’autisme (VD)

Après des années d’attente, le canton de Vaud se dote d’un dispositif de premier plan pour mieux diagnostiquer et traiter les troubles du spectre de l’autisme (TSA). Des patients de toute la Suisse romande pourraient en bénéficier.

Le centre aura aussi pour mission de faire avancer la recherche sur la pathologie, au travers notamment de la constitution d’une cohorte. L’objectif est d’identifier des biomarqueurs pour détecter le plus vite possible ces troubles sur les jeunes enfants.

Lire l’article du matin

Visiter le site de Autisme-Valais

De nombreux obstacles se dressent sur le chemin des personnes handicapées

Devenir invalide du jour au lendemain. Voir sa vie basculer en quelques secondes se réveiller avec un handicap, cloué dans un fauteuil roulant. Cela peu arriver à n’importe qui. La journaliste Emilie Mathys de l’Illustré  a tenté de vivre durant deux jours dans la peau d’une personne handicapée pour mieux comprendre et transmettre ce que les personnes à mobilité réduite  doivent endurer.

Elle a choisi de faire cette expérience  avec  Sunrise Breezy Elégance. Ce nom ne désigne pas une agence de voyage à la mode, c’est la marque du fauteuil roulant dans lequel elle va découvrir ce que vivent au quotidien  les personnes handicapées.

Le constat est rude… Lire son article .

Même s’ il existe en Suisse une loi sur l’élimination des inégalités frappant les personnes handicapées ( elle est entrée en vigueur il y a dix ans)  il y a encore beaucoup de chemin à faire pour que son objet cesse d’être une utopie.

Alors que la générosité des Suisses va aux démunis du tiers monde et aux victimes de catastrophes naturelles de lointains pays. On oublie bien souvent une autre souffrance. Elle est moins visible, plus insidieuse mais bien réelle. Cette souffrance s’appelle la discrimination et elle frappe souvent les personnes handicapées.

Le plus difficile étant sans doute le regard des autres. Les coups d’œil furtifs ou appuyés. Les regards empreints de pitié,  ceux  qui se détournent,  les passants excessivement aimables ou au contraire ceux indifférents qui pensent souvent, à tort, que l’AI se charge de tous les problèmes…