Le centre de Nottwill (LU) pour la rééducation des paraplégiques teste actuellement des robots permettant aux patients de se tenir debout, voire même de marcher.

Un squelette de 25 kg est attaché  sur la personne handicapée pour lui permettre de se mouvoir. Ce robot n’est actuellement prévu que pour l’entrainement et non pas pour un usage quotidien.

Ce costume bionique permettant de se lever et de marcher coûte 100’000 francs et c’est  un outil thérapeutique bien trop lourd pour être utilisé tous les jours.

Il reste encore beaucoup de travail pour améliorer ce prototype mais les spécialistes suisses sont convaincus que d’ici peu, le robot-marcheur «sera partie intégrante de la vie quotidienne de tous ces patients».

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ProRaris (Alliance Maladies Rares Suisse) a le plaisir de vous inviter à sa prochaine soirée d’échange et de discussion entre parents d’enfants atteints de maladie rare, le lundi 15 septembre à 20h00 à Riddes

Renseignements et informations

L’affaire est entre les mains d’un procureur, sans suite depuis un an. Déterminée à ne pas la laisser s’enliser, la maman d’une jeune femme agressée sexuellement à l’hôpital par un patient schizophrène a actionné le levier administratif. Elle a sollicité la Commission de surveillance des professions de la santé en juillet. Le 7 août, une enquête visant les Hôpitaux universitaires genevois (HUG) a été ouverte. Les faits datent de janvier 2013.

La procédure pénale ne lui ayant pas encore apporté les réponses espérées, elle a activé la commission étatique, «qui a réagi très vite, souligne Me Micucci. Les HUG doivent dorénavant se déterminer d’ici à fin septembre.»

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