Une voiture de police sur une place pour handicapés

Une voiture de police stationnée sur une place de parc réservée aux personnes handicapées. La situation, a priori, fait évidemment bondir. On peut légitimement penser que nos forces de l’ordre se doivent de faire preuve d’un comportement exemplaire en toutes circonstances.

Le commissaire Bernard Sermier qui compte bien faire toute la lumière sur l’affaire confirme  que selon  les premiers éléments qu’il a pu receuillir auprès de ses collaborateurs, le véhicule était parqué à cet endroit en raison de la configuration des lieux, le conducteur du véhicule a décidé de le parquer sur cette place qui était seule disponible, afin de ne pas entraver la circulation, de bloquer d’autres véhicules régulièrement parqués ou créer un danger supplémentaire, sachant également que l’accès devait demeurer libre pour permettre l’arrivée de l’ambulance.

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Un bug surfacture les courses aux malvoyants (Lucerne)

l’Entreprise des transports en commun lucernois propose aux personnes à faible vue une offre adaptée: les indications à l’écran apparaissent en plus grand.
Mais le système connaît un bug. Ainsi, quand on choisit un billet pour une «courte distance» avec de grands caractères, on obtient un ticket «course simple zone 101» à 3 francs 20. En mode normal, il ne faut débourser que 2 francs 40. En résumé: le billet «courte distance» n’existe pas lorsqu’on se trouve en mode malvoyant.

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«Ca aurait pu être pire…»

L’ association norvégienne des non-voyants et malvoyants a lancé une campagne pour pousser les gens à accepter les chiens guides d’aveugles dans les espaces publics.

Mettant en scène des animaux invraisemblables dans le rôle de guides d’aveugles
le spot «Ca aurait pu être pire…» imagine la vie des usagers s’il n’y avait pas les chiens guides

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Interdit de bar parce qu’il est handicapé (Glaris)

Une semaine avant Nouvel An, Pia Accurso, 63 ans, a appelé la tenancière du bar «Glarnerstübli», situé à Glaris, pour réserver une table pour le réveillon.

Elle avait prévu de passer la soirée avec son mari et son fils Sandro, âgé de 42 ans et souffrant d’un handicap physique et mental.

La patronne, qui connaît la famille depuis de nombreuses années, lui a annoncé qu’elle ne voulait pas que son fils soit présent, arguant que son bar était petit et accueillait une bonne clientèle notamment des politiciens de haut rang.

Ayant reçu des plaintes dans le passé elle ne voulait pas que Sandro risque de déranger les hommes d’affaires qui avaient réservé une table ce soir là…

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L’épilepsie, touche aussi les sportifs de haut niveau

L’épilepsie touche une personne sur cent et n’épargne pas les sportifs de renom. Certains champions doivent concilier leur carrière tout en gérant la maladie.

Marion Clignet symbolise le combat, mené avec succès, contre cette maladie chronique nerveuse. Double médaillée d’argent aux Jeux olympiques, l’ex-championne cycliste franco-américaine s’est distinguée sur la piste comme sur la route.

Ironie du sort, elle est venue indirectement au vélo à cause de sa maladie. Elle n’a jamais pris le départ d’une course avec une épée de Damoclès sur la tête. «Je n’y pensais pas. Le stress est d’ailleurs un bon moteur.»

Spécialiste du 400 m haies, champion du monde en 2011, l’athlète britannique David Green doit également conjuguer sa passion sportive au haut niveau avec les crises d’épilepsie. Avant la finale de la Coupe du monde 1998 en France, Ronaldo, l’attaquant brésilien, avait été victime d’une crise d’épilepsie qui a conditionné la trame du match.

Source de l’article 24heures.ch