Rencontre entre parents d’enfants atteints de maladie rare
La prochaine soirée d’échange et de discussion aura lieu le lundi 12 janvier 2015 à 20 heures à Branson (Valais).
Pour davantage d’informations, vous pouvez contacter
Christine de Kalbermatten : 079 246 56 64 cdekalbermatten@proraris.ch
La patinoire artificielle en plein air de la Plaine Bellevue à Sierre sera ouverte au public dès le samedi 6 décembre 2014.
Cette année, une plate-forme à patins, mise à disposition par la Fondation Cerebral, permettra aux personnes en fauteuil roulant de profiter de ce lieu de rencontre.
Patiner – une chose impossible à faire jusqu’à présent pour les personnes en fauteuil roulant. Grâce au nouveau projet «Patinage pour personnes en fauteuil roulant», les personnes en fauteuil n’ont plus à rester au bord de la patinoire à regarder les autres évoluer sur la glace, elles peuvent prendre une part active à ce plaisir particulier.
Avec une plate-forme à patins conçue spécialement pour les fauteuils roulants, les personnes concernées peuvent patiner confortablement. Cet instrument est donc une sorte de plate-forme reposant sur des patins qui, grâce à une petite rampe que l’on fixe sur l’engin, permet de circuler sur la glace tout en restant dans son fauteuil roulant.
La patinoire Weyermannshaus à Berne est la première patinoire en Suisse à se doter de deux plates-formes à patins. Celles-ci peuvent être empruntées gratuitement et sont censées permettre à un maximum de personnes en fauteuil roulant et à leurs familles de s’offrir quelques heures de détente sur la glace.
Dans le cadre du projet «Patinage pour personne dans une chaise roulante», la Fondation Cerebral souhaite équiper une vingtaine de patinoires des quatre coins de Suisse avec des plates-formes à patins pour la saison d’hiver 2014/2015.
Lire l’article du Nouvelliste (PDF)
Depuis vingt-sept ans, l’AGIS (Association genevoise d’intégration sociale) favorise les rencontres entre bénévoles et handicapés. L’an dernier, cette association a été récompensée pour son engagement en obtenant le prestigieux Prix du bénévolat, décerné par la Société suisse d’utilité publique. D’une valeur de 100 000 francs, c’est l’une des récompenses les plus élevées en Suisse. Une somme qui a permis à l’AGIS de réaliser cinq minifictions, destinées à attirer de nouveaux volontaires dans le secteur du handicap.
Voir les minifictions
A l’eau de Brigitte Rosset
Recadrage de Sibylle Blanc et Vincent Calmel
Faut pas pousser de Brigitte Rosset
Celui qui peut le plus, peut le moins par l’Agis
Câlins, câlins, câlins de Fred Valet
A l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, le président de la Confédération Didier Burkhalter a adressé un message de solidarité. Un peu partout en Suisse, des associations du domaine du handicap organisent des actions de sensibilisation.
En Suisse, nous construisons depuis des siècles une société qui se renforce par sa diversité même, a déclaré dans son message Didier Burkhalter. Il faut que toutes les personnes vivant avec un handicap puissent contribuer à cette société.
Le Conseil fédéral, avec les cantons et les milieux concernés, s’engage à concrétiser « l’égalité pour tous », en particulier devant l’accès à la formation, à l’emploi, à la vie publique, aux loisirs, à la santé. Parce que les personnes en situation de handicap ont beaucoup d’idées, de projets et de talents à nous faire partager, a lancé le président de la Confédération.
En 2014, la Suisse a ratifié la Convention de l’ONU relative aux droits des personnes handicapées, a-t-il encore rappelé. La Suisse doit faire progressivement évoluer les réalités d’aujourd’hui vers toujours plus d’égalité et toujours moins de barrières, architecturales ou mentales.
Sous le slogan « Nous avons notre mot à dire », des associations comme Pro Infirmis ou Procap organisent des manifestations un peu partout en Suisse. Campagnes de sensibilisations, projections de films, entraînement sportif ou encore projets artistiques sont au menu de cette journée.
La Journée internationale des personnes handicapées a été introduite par l’ONU en 1992 afin de sensibiliser le public aux intérêts des personnes handicapées.
Plus d’information sur www.3decembre.ch
Le directeur de la Fondation suisse pour les cyberthèses (FSC) a été condamné à une peine privative de liberté de 24 mois avec sursis par le tribunal de district de Monthey (VS). Il a été reconnu coupable notamment de gestion déloyale aggravée et de faux dans les titres.
Le tribunal a suivi le procureur qui avait requis, le 18 novembre dernier, une peine privative de deux ans avec sursis. Dans un communiqué diffusé mercredi, le tribunal indique avoir notamment retenu que le directeur s’était versé des honoraires mensuels de 12’000 francs en 2008 et 2009, alors que la situation financière de la fondation ne le permettait pas.
Le tribunal souligne aussi que le directeur avait engagé son fils comme salarié de la fondation sans l’autorisation du conseil. L’ex-directeur devra rembourser plus de 330’000 francs à la Fondation suisse pour les cyberthèses au titre de dommage. Il devra aussi verser quelque 28’000 francs au titre de frais d’avocat et payer les frais de justice qui s’élèvent à un peu plus de 5600 francs.
La FSC a été créée en 1999 par le condamné. Il l’a dirigée en qualité de secrétaire général du conseil de fondation. Le but de la fondation est de concevoir des prothèses externes destinées à améliorer et aider la stimulation musculaire de paraplégiques.
source : le nouvelliste
